Un accord possible pour samedi ? Réactions des délégations congolaise, malienne, centrafricaine et b
A moins de 48 heures de la deadline fixée samedi à midi, il reste encore beaucoup à faire pour préparer un accord sur le réchauffement climatique. Après les grandes déclarations des 140 chefs d’Etat venus à Paris en début de semaine et le rappel à l'ordre du Président de la COP hier, les experts travaillent sur les détails du texte, page par page, virgule par virgule.
A ce jour, le brouillon d’accord ne fait plus que 5O pages contre 55 pages il y a trois jours. Il reste 250 options ouvertes que devront trancher les ministres ce vendredi. Dans tous les cas, il faudra nécessairement trouver un consensus. Dès ce vendredi, des propositions seront sur la table pour etre examinées et validées d’ici samedi, sur la nature de l’accord, et la mise en oeuvre des engagements.
Avec une question clef : les pays industrialisés sont-ils prêts à payer pour réparer les dégats qu’ils ont causés dans les pays du Sud, en Afrique notamment.
Nos envoyés spéciaux ont interrogé les délégations de leur pays sur l’avancement des travaux.
Robert Bopolo, Ministre de l’Environnement et Développement Durable de la RDC, est interrogé par Rémy Tshamala
Modibo Sacko, point focal pour le Mali à la COP 21 est interrogé par Mouhamadou Touré.
Idrissa Semdé, le point focal du Burkina, est interrogé par Eric Aimé Ouédraogo.
Hervé Marcel MAÏDOU, délégué pour la RCA à la COP21, et coordonnateur du projet régional REDD